L’Olympique Lyonnais a subi une défaite amère contre l’OM lors d’un match qui a échappé au sextuple champion de France. Les Lyonnais ont montré des limites physiques, techniques et mentales. Dans cet article optimisé SEO, nous allons analyser les faillites collectives des Lyonnais symbolisées par Gusto, Caqueret et Cherki.
Gusto, dix minutes entre la balle de match et un CSC gag
Malo Gusto est à l’image de sa saison, transparent comme une goutte d’eau. Sa rentrée en jeu lors du match contre l’OM n’a été qu’une péripétie dans un scénario que l’OL n’a pas du tout maîtrisé. Le latéral droit a même marqué contre son camp à la 90ème minute, torpillant les espoirs d’Europe des Gones.
Caqueret, l’ombre de lui-même
Maxence Caqueret, censé être le successeur de Tolisso ou encore de Guimaraes, ne vit pas une saison de la confirmation mais plutôt une saison de stagnation. Dans un milieu à trois ou à deux, il n’a jamais réellement pesé. Le jeune milieu de terrain a perdu beaucoup de ballons, manqué de verticalité et de déséquilibre sur des passes qu’il sait si bien faire de temps en temps.
Cherki, pas de sifflets mais une prestation qui interroge
Ryan Cherki, le jeune prodige lyonnais, n’a pas pesé sur la rencontre contre l’OM. Il a perdu beaucoup de ballons dans l’entre-jeu et n’a pas soutenu Alexandre Lacazette. Bien pris par la défense marseillaise et un milieu Rongier-Veretout qui a bloqué toutes les solutions de passes, Cherki a essayé de se sortir de l’entonnoir de l’OM sans succès. Sa prestation interroge, mais Laurent Blanc continue de le protéger.
L’OL doit changer son logiciel tout entier, commençant par les dirigeants jusqu’aux joueurs. Les prestations des joueurs comme Gusto, Caqueret et Cherki illustrent les symptômes du sextuple champion de France, éteint et endormi. La fameuse banderole des Lyon 1950 « Du Président aux joueurs, tous coupables » résume bien la situation actuelle de l’OL.